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  • Programme de l’Espace Saint-Hilaire du premier semestre 2018

    Programme de l’ESH du 1er semestre 2018


    Les lieux exacts des conférences seront communiqués au fur et à mesure des accords passés.


    JPEG- * Jeudi 14 juin à 20h30 à Melle, au Cinéma Le Méliès - Place Bujault (en face du kiosque à musique)

    "Regards sur l’agriculture : déjouer les impasses"

    Qui peut ignorer les difficultés actuelles de l’agriculture et les défis multiples qui lui sont posés sur le plan économique, écologique, technique, humain… ? Le sujet est primordial et ultra-tendu. Nous sommes tous concernés.
    L’Espace Saint Hilaire s’en empare et invite à une table ronde en faisant appel à des experts qui apporteront des informations encore peu connues du grand public. Ils proposeront des clés très concrètes pour comprendre les enjeux essentiels et découvrir des alternatives innovatrices qui font bouger les lignes.
    Cette table-ronde répond au désir de bousculer certaines idées reçues et d’ouvrir de véritables perspectives. Il ne s’agit pas moins que de la survie de l’humanité dans un monde dont le visage sera très différent de ce qu’il est aujourd’hui.
    Quatre interventions permettent de brosser le tableau de ce qui est en marche chez nous et dans le monde, de découvrir des initiatives à contre-courant ici et ailleurs et de nous positionner comme citoyens.

    Intervenants :

    - Franck Michel, agro-économiste (Chambre régionale d’agriculture)
    Une réflexion sur les enjeux de l’agriculture

    - Céline Peloquin, ingénieure Agronome

    Ferme de Chassagne, 50 d’expériences alternatives

    - Yvonne Belaunde, experte en coopération internationale-CCFD-Terre solidaire
    Le rôle clé des agricultures paysannes

    - André Talbot, enseignant au Centre théologique de Poitiers
    L’avenir de notre terre : une responsabilité citoyenne



    _ - * Vendredi 2 février à Mauzé-sur-le-Mignon :
    salle paroissiale de Mauzé, près de l’église de 19h à 22h30
    Présentation et animation de la campagne de Carème du CCFD 2018 "l’approche de l’autre"
    Comment transformer la pauvreté en richesse ?
    avec le témoignage d’Yvonne Belaunde.

    Et en même temps : soirée crêpes


    _ - * mardi 6 février à 20h30 à l’amphithéatre du lycée St-André à Niort
    "Les écrans, une addiction ? Enfants, parents, familles, tous concernés".
    par Jacques Henno
    en partenariat avec les AFC.
    _ Les nouvelles technologies de communication sont un formidable outil. Mais l’attraction qu’elles suscitent n’est pas sans réserve. Portes ouvertes à bien des dangers selon certains, elles font naître de nombreuses questions.
    _ C’est à ces questions que Jacques Henno, journaliste, auteur, spécialiste d’Internet et des nouveaux outils de communication, répond dans ses nombreux livres. A la demande des établissements scolaires, des associations de parents d’élèves, des collectivités locales ou d’organismes d’information, il aborde dans ses conférences les multiples problèmes posés par ces technologies qui semblent devenues indispensables.
    A l’invitation des Associations Familiales Catholiques, en partenariat avec l’Espace saint Hilaire en Sud Deux-Sèvres, JACQUES HENNO donnera, le mardi 6 février à l’amphithéâtre du lycée saint André, une conférence sur ce thème. Elle s’adresse aux parents, éducateurs, usagers de tous âges qui s’interrogent sur l’impact des réseaux sociaux, des jeux vidéo, de l’utilisation des téléphones portables, tablettes et écrans en tous genres, sur les enfants et adolescents.



    • - * jeudi 1er mars à 20h30 au Pôle Universitaire de Niort, amphi Galuchet (Entrée parking au rond-point à la jonction des Av. de Wellingborough et Salvador Allende)
      "Thomas More, une Utopie vécue. Quelle leçon pour nous aujourd’hui ?"
      par Jacques Mulliez

      L’exemple de Thomas More (1478-1535), inventeur et auteur de l’Utopie, décapité sur ordre de son roi pour avoir refusé d’obéir à une loi injuste récusée par sa conscience, nous ouvre-t-il des horizons nouveaux, lui qui vécut à une époque pleine de similitudes avec notre XXIe siècle ?
      Tel sera l’objet de la conférence au cours de laquelle, après avoir regardé brièvement sa vie et son époque, Jacques Mulliez* nous montrera comment Thomas More, confronté aux épreuves et aux questionnements, a su répondre avec cohérence et humour.
      Au travail, en famille, en politique, peut-on aller jusqu’au bout de ses convictions ? Utopie ou réalisme ? Notre discernement s’exerce-t-il avec pertinence, comme sut le faire Thomas More, afin de vivre en paix et en cohérence avec soi-même, en gardant le souci du bien commun qui est confié à tout citoyen d’un pays.
      Ce n’est pas sans raison que Thomas More fut proclamé patron universel des hommes politiques en 2000 par Jean-Paul II, à la demande de plus de 300 parlementaires du monde entier, dont plus du tiers de non-chrétiens, comme modèle de la primauté de la conscience.

      * De formation juridique et marketing, ancien dirigeant d’Entreprise, ancien Président des EDC (Entrepreneurs et Dirigeants Chrétiens) d’Ile de France et ancien vice-président national, Jacques Mulliez a été fortement influencé par les écrits et l’exemple de vie de Thomas More, en particulier par sa fidélité à la primauté de la conscience. J. Mulliez reconnait que cet exemple l’a aidé à savoir dire NON dans des circonstances professionnelles difficiles.
      D’où l’écriture du livre "Prier 15 jours avec Thomas More en 2010", puis sa biographie, "Thomas More, Au risque de la conscience", en 2013. Plus récemment, en 2017, "Passeur de Joie", ainsi que la publication commentée de deux textes inédits de Thomas More, La Tristesse du Christ et le Traité sur la Sainte Communion.

    PS. Jacques Mulliez assurera une séance de dédicace à la Librairie des Halles à partir de 16h le jeudi 1er Mars


    - * Jeudi 22 mars à 20h30 à l’amphithéâtre du Lycée Saint André à Niort
    "50 ans de bande dessinée chrétienne : distraction ou évangélisation ?"
    par le Père Michel Manguy
    Avec en introduction : "Une petite histoire de la BD" par Cédric Liano

    JPEG"50 ans de bande dessinée chrétienne : distraction ou évangélisation ?"
    Promouvoir la BD chrétienne est une manière actuelle d’évangéliser en faisant connaître l’Evangile et ses témoins. Le Père Michel Manguy, président du jury de la BD chrétienne d’Angoulême, nous fera part de son témoignage dans ce domaine.

    La soirée sera introduite par Cédric Liano, auteur-dessinateur de bandes dessinées, prix de la BD œcuménique au festival d’Angoulême 2015 avec Amazigh

    La bande dessinée chrétienne

    "Comme de nombreux jeunes de mon âge, j’ai grandi avec la bande dessinée. Comme beaucoup d’autres, j’ai probablement appris à lire correctement grâce à Lucky Luke, Astérix ou Tintin. Voyant que seules les images me poussaient à la lecture et souhaitant me transmettre leur foi, mes parents m’ont mis entre les mains quelques vies de saints en BD. C’est probablement avec ce genre de réflexion que la BD chrétienne est née. Nombreux sont les chrétiens qui ont vu défiler des hagiographies dessinées. Mais alors peu de ces BD n’avaient la qualité suffisante pour être comparées aux grands héros que tout le monde connaît.

    La BD chrétienne a bien changé !

    Aujourd’hui, il est assez difficile de la définir ou d’en donner un archétype. La BD ce n’est pas (ou plus) l’affaire de plus ou moins grands enfants qui cherchent à se divertir avec un récit plein d’images ; c’est aussi et surtout des artistes ; alors pourquoi Dieu et sa relation aux hommes ne pourraient-ils pas être dessinés et mis en perspective par la bande dessinée. Avec les générations nouvelles, la religion n’est pas nécessairement sérieuse et la BD futile. Les deux peuvent donc se rejoindre en s’appuyant sur une foi vécue et sur des récits qui l’illustrent."

    Guillaume Lavrard


    Les grandes questions de bioéthique
    au XXIè siècle dans le débat public

    JPEGJPEG Jeudi 3 mai à 20h00
    "Les défis du transhumanisme : enjeux anthropologiques et éthiques"
    par le Professeur Gil.
    à l’amphithéâtre de l’IFSI : Centre de Formations Paramédicales du Centre Hospitalier de Niort", 40 Avenue Charles de Gaulle à Niort.

    Le mouvement culturel, philosophique, technologique du transhumanisme est en forte progression. Il suffit pour s’en convaincre de fréquenter nos salles de cinéma, d’observer certains jeux vidéo ou de parcourir nos bibliothèques et librairies...

    Selon les partisans de cette idéologie, l’humain d’aujourd’hui est appelé à être « augmenté », voire « dépassé » pour faire advenir un « post-humain » et ceci en raison de ses limites actuelles et grâce à la rapidité des avancées en génétique et aux promesses des technosciences.

    Le développement exponentiel et la convergence de nouvelles technologies rassemblées sous le sigle NBIC (pour nanotechnologies, biotechnologies, informatique, sciences cognitives) permet une interpénétration entre l’homme et la machine au point d’en faire des « cyborgs » (contraction de l’expression « organisme cybernétique »).

    Mais vouloir augmenter de manière radicale nos capacités sensorielles et cognitives, s’affranchir du corps biologique pour lui préférer un support informatique, désirer, non seulement éradiquer la souffrance et la maladie, mais aussi vaincre le vieillissement et finalement la mort afin qu’un autre humain, « plus qu’humain » advienne, n’est-ce pas jouer aux apprentis-sorciers ? Entre fascination et inquiétude, ces promesses nous convoquent à une réflexion anthropologique et éthique collective. Ainsi le Professeur J. F. Mattei déclarait récemment : « Je suis beaucoup plus inquiet de l’affaiblissement de nos consciences aujourd’hui que des avancées scientifiques, car ce n’est pas la connaissance qui est dangereuse, c’est l’usage que l’on en fait. »

    Où allons-nous ? Dans quel monde voulons-nous vivre demain ? Que voulons-nous faire de notre humanité ? La technique peut-elle (doit-elle) « améliorer » l’espèce humaine ? Comment permettre à l’homme de garder la main ?

    C’est pour nous éclairer sur ces questions que l’Espace saint Hilaire en Sud Deux-Sèvres a invité le Professeur Roger Gil * qui animera une soirée-débat intitulée : « Les défis du transhumanisme : enjeux anthropologiques et éthiques »


    - * Jeudi 17 mai à 20h30
    - * "Marie en Poitou"
    par Monique Béraud
    à l’auditorium du Musée d’Agesci, 26 avenue de Limoges - Niort

    L’iconographie de la Vierge dans notre diocèse couvre une longue période, de la sculpture mérovingienne aux créations contemporaines. La richesse du corpus conduit à faire des choix qui témoignent de l’évolution des styles mais aussi de la tradition de l’Eglise, de la piété populaire.
    Les textes des évangiles parlent peu d’elle. Le concile d’Ephèse en 431 lui a conféré le titre de « Mère de Dieu », la réflexion théologique s’est poursuivie au fil des siècles, ce qui a conduit les artistes à traduire dans les images la figure de Marie.
    Aujourd’hui, la photo d’art montre la qualité de ces œuvres souvent peu mises en valeur dans les églises. Le travail du photographe François Diot pour illustrer le récent ouvrage des éditions Gilbert de la Porrée, Marie en Poitou, renouvelle notre regard sur ce patrimoine.


    JPEG- * Dimanche 27 mai à 15h à l’entrée du musée d’Agesci, 26 avenue de Limoges à Niort.

    _ Visite commentée de quelques représentations mariales du musée Bernard d’Agesci avec Yolande Réhault
    _A la suite de la conférence organisée par l’Espace Saint Hilaire le 17 mai dernier et animée par Monique Béraud sur "Marie en Poitou", Yolande Réhault propose à ceux qui le souhaitent une visite commentée de quelques représentations mariales du musée Bernard d’Agesci.

    Rendez-vous le dimanche 27 mai 2018 à 15h à l’entrée du musée d’Agesci, 26 avenue de Limoges à Niort.

    Attention : Le nombre de visiteurs étant limité à 25, il est souhaitable de signaler votre participation à Yolande Réhault au 06 88 98 18 25.