- Paroisses
- Paroisse St-Pierre et St-Paul de Niort
- Paroisse St-Jean-Baptiste en Niortais
- Evénements et actualités de la paroisse
- Horaires des messes
- Agenda
- Entrer en relation avec notre paroisse
- Patrimoine et histoire dans notre diocèse
- Etapes de la vie chrétienne - baptêmes, mariages, sépultures
- KT & Aumônerie
- Quelques textes...
- Gardons le lien
- Pèlerinages
- Retraites spirituelles
- Journal paroissial "Au Coeur de ce Monde"
- Synode
- Services - mouvements et groupes de prière
- Formations
- Archives
- Paroisse St-Junien en Mellois
- Paroisse St-Louis-Marie-Grignion-de-Montfort en Niortais
- Paroisse Ste-Sabine en Niortais
- Ma commune est dans quelle paroisse ?
- Jeunes
- Prier
- Sacrements
- Servir
- ACAT (Action des Chrétiens pour l’Abolition de la torture)
- Accueil d’urgence de l’étranger
- Aumônerie de l’hôpital
- Aumônerie de la Prison
- CCFD (Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement - Terre (...)
- Conférence de St Vincent de Paul
- Coopération Missionnaire
- Fondation Raoul Follereau
- Homosexualité et vie chrétienne
- Maison du Village Saint Joseph
- Ordre de Malte
- Secours Catholique
- Servants et Servantes d’Autel
- Se rencontrer
- Se former
Noël 2013 par le père Jacques Lefèbvre
Noël 2013.
Luc 2, 1 à 14 : Vous trouverez un nouveau-né, emmailloté…
Georges de la Tour. Le nouveau-né. Vers 1648. Musée de Rennes.
« De toutes les œuvres de l’artiste, c’est celle où la lumière dans la nuit paraît révéler le plus purement l’ineffable et le sacré, et celle où l’ambiguïté entre thème religieux et représentation d’une tranche de réalité est la plus frappante. »
Une composition presque géométrique : triangle de la mère, de face, avec le triangle inversé de l’encolure et l’ovale du visage. A gauche, la femme au double menton (Anne ?) en plan plus rapproché, de profil, bien isolée par la verticale de sa main levée, camouflant en totalité la chandelle et sa source de lumière, seul lien entre les personnages.
Marie, les yeux baissés, silencieuse, conserve l’événement dans son cœur. Ses mains tiennent bien, agrippent le nouveau-né. Celui-ci était déjà décrit par Taine en 1865 : « le front sans cheveux, les yeux sans cils, la lèvre inférieure rabaissée, le nez et la bouche ouverts, simples trous pour respirer l’air… le petit corps est collé et serré dans ses langes blancs raides comme dans une gaine de momie… l’âme encore ensevelie. »
Le Verbe s’est fait chair
Mon Dieu, qui dormez, faible entre mes bras,
Mon enfant tout chaud sur mon cœur qui bat,
J’adore en mes mains et berce étonnée,
La merveille, ô Dieu, que m’avez donnée.
(Berceuse de la Mère-Dieu, par Marie-Noël)
père Jacques Lefèbvre
Voir les autres présentations de Jacques Lefebvre
Voir les vidéos de "La bible en images" de Jacques Lefebvre