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BIENVENUE A LA VIE D’AUSTÉRITÉ
Les banques au Liban prêtent l’argent à l‘État libanais depuis 29 ans. Cet État en faillite n’a pas pu rembourser.
En conséquence les particuliers n’ont plus accès à leurs comptes sauf à 600 $ par semaine. Cette règle s’applique aussi aux nombreux Syriens particuliers et établissements qui ont placé leur argent dans les banques libanaises pour échapper aux mesures de blocus imposées à la Syrie depuis neuf ans.
Comment faire avec 13 salariés et 600 familles assistées à la veille de Noël ?
Un nouveau problème qui complique la vie de toute la population. Cette crise financière greffée sur le bras de fer Irano-Américain ébranle tous les pays du Proche Orient et complique les chances de solution.
Ainsi la monnaie locale chute à toute vitesse face au prix du dollar qui s’envole et devient monnaie rare. Alors que toutes les importations de première nécessité doivent être payées en devises étrangères.
Cette nouvelle situation a poussé les citoyens à renouer avec un mode de vie d’austérité et de solidarité : partir au travail à plusieurs dans chaque voiture, utiliser les transports publics. La société de consommation perd son attrait. Les grandes surfaces sont presque vides, la vie familiale retrouve sa chaleur, la Foi son dynamisme et la solidarité sa première place.
Peut-on parler d’une crise économique salvatrice ?
En tout cas une nouvelle société à visage humain renaît à la veille de Noël.
+ Samir NASSAR , Archevêque de Damas